Chez Manélyss [Pv Mané ^^]

( Désolée, j'avais oublié de transferer, donc je le fais maintenant! ^^ J'étais trop heureuse de répondre, j'ai oublié de faire mon travail. ^^ )

Izae:

Je marchais a ses côtés, je ne marchais pas complètement droit, mais je m'appuyais sur lui. Si c'était chez lui, c'était tant mieux. Je me collais contre lui, ayant ma main dans son dos. Je l'embrassais de temps en temps sur son épaule, sachant très bien que je devais resté enflammé. Si l'alcool perdait son effet, j'allais perdre mon emprise sur lui. Lorsque l'on arriva devant chez lui, je le colla légèrement contre la porte, son dos a plat contre la porte et je me colla contre son torse. Je l'embrassa fougeusement sur ses lèvres, glissant mes mains dans son bas de dos. Je releva le bas de son chandail, y glissant mes mains. Je le tenais contre moi, sur sa porte. Je souriais largement toujours en train de l'embrasser. J'étais bien contre lui, ce qui ne m'était pas très familier, mais je me débrouillais assez bien.

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Manélyss:

Il me fallu une force de malade pour reussi et ouvrir la porte.Je l'embrassa passionement et la prenant par le dessou des cuisse en mettant une de chaque coté de mon corps. Je ne pouvais pas arreter de l'embrasser. cela m'était impossbile. je claqua la porte avec mon pied allant dans la chambre la plus proche, celle de ma mere. Il ne me fallu pas longtemps pour enlever mon chandail , elle avait deja commencer. Elle était maintenant sur le lit toujours accrocher a moi. Me main de baladait maintenant a leur libre volonté, de son dos a ses fesse, de ses fesse a ses cuisse, de ses cuisse a ses fesse de ses fesse a son ventre et ses coté et de ceux-ci a ses sein. mes levre elles passait de baisé en baisé. carressant sa bouche, son coups, sa joux. Les condonc étaient a coté de nous facile de l'est atteindres. Cette fille... Elle me tenait. si c'est l'alcool alors j,en boirai tout le jours, mais je me sentait irrévocablement bien avec elle, sentaient tout son corps. la moindre forme sur mon ventre.

Mes envies combattaient contre mes valeurs et mon corps contre mon cerveau. Bien vite, le combat finit, mes envies et mon corps avaient pris le contrôle. J'étais totalement en transe. Je venais de pratiquement toute me dévetir et je tenais Manélyss contre mon corps. De temps en temps, je fermais les yeux et les ouvrait afin de vérifié si c'était vraiment en train de se passer. L'alcool y était pour quelque chose, mais c'était la première fois que ça m'arrivait, pourtant j'avais été saoule d'autre fois et je savais que ça n'était jamais arrivé... comment dire, je ressentais quelque chose de pas normal et ça, l'alcool ne pouvait rien y faire. Je le laissais parcourir mon corps comme s'il était un lecteur hors paire et que j'étais un livre. Je glissais mes mains le long de son cou et de son dos comme si je tenais a mieux le connaitre... le connaitre plus en profondeur. Mes lèvres faisaient les folles et passaient de son torse a son épaule. Je glissa Manélyss sur le dos et je m'assis sur lui, souriant largement. Je n'étais seulement vêtu de mes sous-vêtements et de mon soutien-gorge. Je le regardais en ayant un gros sourire au visage, je m'accrochais a lui. Il était mon seul support dans cette situation. Je détacha son pantalon, descendant graduellement, passant mes mains de ses cuisses jusqu'à ses pieds. Lorsque je remonta vers lui, je m'étalla de tous mon long sur lui, faisant en sorte de "frotter" mon corps contre le siens. Je souris lorsque je sentis une bosse se former encore plus durement sous mon nombril. Je m'approcha de son visage et je l'embrassa sur sa clavicule, le regardant. La balle était maintenant dans son camp, a lui de décider ce qu'il devait faire.

Je la regarda en souriant tout en descandant le long de son coup, passant par sa poitrine et par son ventre pour atteindre mon objectif. Je ne coirs pas que L'alcool procure tout ceci. Non. tout est de moi et elle. Il n'y a que la gene qui a disparu lors de notre moment au skylight.Mes mains, elle suivait mon mouvement et partait de chaque coté de la tete et caressa tout se qui se trouve entre elles et ses cuisses. je descendi plus bas et ecarta les jambe Izabella. je lui embrassais le clitorisse et jouait de me langue sur les levre en revenant par la suite a celui-ci. Une alternance de les deux. je comptait bien lui faire plaisire. autant qu'elle pouvait m'en donner et meme plus. Mes main continuait a se promener autour. caressant ses pieds, ses jambes, ses cuisse, ses fesse et son ventre. pour mon cas Il ny avait plus de doute possbile j'était exiter. c'était ma premiere fois depuis plusieur milliard d'années mais je savais bien m'y prendre. du moin j'esperais ne pas avoir perdu la main. Je n'arreterai pas mon jeux de langue tant qu,elle ne serait pas comblé ou qu'elle m'arretais afin de passer a autre chose. mon coeur battait aussi fort que vite. Je n'avais pas remarquer. ce phéénomene m'arrivait dans ses occasion a chaque vois je devenais brulant et mes souvenir je brillait meme. J'était aux 7 eme ciel. surment plus haut encore

Je le sentais descendre le long de mon corps, dès qu'il eut atteind sa cible, je fus frappé par un sentiment que je n'avais jamais vécu au paravant. Même lorsque mon père s'était amusé avec moi, les caresses de Manélyss surpassait de loin celles de mon père qui étaient une dure torture pour mon esprit, celles de Manélyss étaient douces et attentionés, ce que je crois que je n'aurais pu vivre avec personne d'autre. Je ne comprenais pas pourquoi, mais je me sentais moi, simplement. J'adorais ce spectacle et je m'amusais comme une folle. Je sentis un énorme vague de bien être et j'étais totalement comblée, ce que je n'avais jamais vécu au paravant. J'avais les yeux fermés et je ne savais plus quoi faire, j'étais bien. Je me tortillais de plaisir en laissant échaper des petits gémissements de bien-être. Je mis mes mains contre les siennes, réussissant a reprendre un peu le dessus sur mon plaisir et je le força a se glisser vers le haut de mon corps. Je le regardais droit dans les yeux, ayant un large sourire de satisfaction sur mon visage, même si j'essayais de le cacher, c'étais impossible.

Je nu aucune resistance a remonter a son niveau. Les quelque cri de bien etre quel lacha par moment m'indiqua qu'elle appreciait. une fois a sa hauteur j'aperçu son sourir je ne pu avoir qu'une reaction lui sourir et l'embrasser par la suite. ma langue était en feu se soir. la cienne aussi a se que je remarquait. mes doight avait remplacer ma langue au niveau du clitorise. un s'occupait de celui, deux autre des levree t deux autre commença a penetra. je les fesais jouer habilement sans toute fois en faire trop et risque de la blesser. mon autre main tenait la sienne. ses deux-la ne se lacherait pas facilement. c'était tant mieux.je respirait son parfum toujours aussi envoutant. Je m'apercu briller peu plus a chaque minute. mes levres était''scotcher au cienne'' je sentais tout son corps contre le mien. sa peau si douce, fraicher et delicate. sa poitrine me donna un autre indice que celle-ci était exiter. je sourir legerement sans lacher de prise ses levre

Il m'avait eut, j'étais complètement excitée et j'appréciais chacun de ses movements, mes doigts glissaient entre les siens alors que mon corps lui donnait tous les indices possibles pour lui prouver a quels point j'aimais ce qu'il me faisait vivre. Je n'étais plus du tout en possession de mon propre corps, je me donnais complètement a nos caresses et il me contrôlait, il pourrait bien faire ce qu'il veut de ma peau ce soir. Maintenant qu'il m'avait excitée dans le tapis, je ne voulais qu'une chose, j'avais envie de lui. Je le voulais et il semblait vouloir autant que moi. Peu à peu l'alcool disparaissait, mais je me sentais pas plus gèné par ce que j'étais en train de faire. En étant vulgaire, je voulais carrément qu'il me pénètre, qu'il le fasse différement de mon père pour que je puisse a nouveau m'identifier a cet acte. J'espèrais qu'il efface totalement les traces de mon père, qu'il m'apprécit, je me surpris a le penser. Je voulais simplement oublier quelques instants... Ressentir le bien être que je ressentais encore quelques secondes de plus. Je l'embrassais et je ne pouvais plus m'en empêcher, c'était plus fort que mon vouloir. J'étais collé contre lui, étant complètement dans les vapes. Je le tenais contre moi avec l'une de mes mains dans le bas de son dos, l'autre jouait avec ses doigts.

Je crois que la ON était sur la meme longueur d'onde. mes doigt arreterent leur dance du plaisir et chercherent la boite de condonc non loin de nous. Ils la trouva et en prit un a l'intérieur. je crois que le moment le plus dure était de me separer de ses levres et de sa main. j'ouvrit la petite enveloppe avec délicatesse (elle étaut pas chiante comme ceux qu'on nous parle et l'école)je savais tres bien comment sa fonctionnait et il ne me fallu que quelque seconde pour l'enfiler. je lança l'enveloppe vide et reporta mes levre au cienne et remettait ma main dans la cienne.mon autre main m'aider a approcher mon pénis et son vagin sans toute fois pénétré mais je lui laisse sentir que j'Était la et quelle n,avait que faire une chose un signe de tete ou bine autre chose peu importe.je brillait maintenant de je brulait. j'adorais tout se que je ressentait.

Je sentais son corps contre le miens, mais j'étais toujours en transe. J'ouvris mes yeux et je lui fis un large sourire en guise de réponse. Il devait probablement se douter que ce que j'avais envie c'était qu'il me pénètre, assez pour me faire oublier mon passé l'espace de quelques minutes. J'étais déjà au paradis, je n'avais pas besoin de plus, mais c'était a mon tour de lui faire plaisir et de le rendre au même cieux que moi. Je tenais toujours sa main dans la mienne, souriant toujours en coin. Je ressentais le besoin de savoir qu'il était prèt de moi et qu'il pourrait y rester un moment. Je le tenais fermement par le bas de son dos, mais est-ce que ça serais suffisant pour l'empêcher de partir? Je n'étais certaine de rien, mais pour le moment, il était là et je devais profiter du moment présent. Je glissa doucement mes lèvres contre son torse, l'embrassant doucement. Je finis par relever la tête vers lui, me mordant légèrement la lèvre en souriant.

La réponse était claire. je luis rendit son sourit. Je penetra un peu a l'aide de ma main et deposa celle sur sa sous-cuisse. Je la pénétra lentement pour ne pas lui faire mal. une sensation que je n,avais ressenti qu'une fois m'envahit. partant de on gland jusque dans mes jambe et mon torse. en finissant par la tete. J'inspirat fort et longuement de plaisir avant d'expirer dans les meme conditions. je croyais avoir atteind ma chaleur maximal. mais la cetait encore plus. je lacha une ;legere sonorité de bien etre en fermant les yeux avant de les rouvrir et de l'embrasser. Je tenait sa main. je ne voulais pas qu'elle s'en aille. je voulais la sentir contre moi. J'avais de fusionner avec. une sensation tellement unique.

Je me tenais contre lui, mais je ne pouvais m'empêcher d'émir des petits gémissements de bien-être. J'adorais, il ne pouvait même pas savoir a quel point par mes bruits. Il ne me ferait jamais mal, c'était impossible. Mon père était 10x plus brusque et lui, il me faisait mal, mais c'était justement ses intentions. Manélyss était très doux, dans la mesure du possible. J'adorais sa façon d'être prèt de moi. C'est a ce moment que je remarquais que je ne voudrais plus jamais qu'il parte. Comment faire? C'était impossible. Je ferma mes yeux et des images décevante me vint en tête, mais je les chassa rapidement, reportant mon attention sur Manélyss. C'était le seul garçon que j'avais laissé m'approcher, même si c'était pendant que j'étais saoule, je savais quand même un minimum ce que je faisais. Je lui cassera le dos en entier, le tenant contre moi. Je suivais ses mouvements, les yeux semi-clos.

Parti loin d'elle ? elle foudrais qu'elle rentre chez elle demain ctait normal. ces peensé m,atristait et je l'est chassa de se moment heureux. Il était claire que je l'aimait malgré le peu que je connaissait d'elle. malgré cette coincidence. ma main qui était sur sa cuisse écarta legerement celle-ci me denant et peu plus de mobilité et donc plus delant. cetait magic et je ne pourrias jamais me lassez de cette sensation.je ne pourrais jamais plus me de ces carresse, de se parfum, de ces baisé, de cette fille... La sensation etait maintenant tres forte. Je continuait a lui faire l'amour tout en L'embrassant. merveilleux. mes main adorait se qu'elle carressait. de ses levre a son coups, de son coups a ses sein et de retour a de levre. mes levre jouait sur elle comme des doigt sur un piano

Je restais toujours collé contre lui, je devais cesser de pensé a mes expériences pensés, sinon, il finirait par voir que quelque chose n'allait pas dans ma tête. Je ne voudrais plus jamais retourner chez moi, j'en avais marre. Plus il s'étreignait contre moi, plus je me disais que je devais dénoncer mon père et rester avec Manélyss pour le reste de ma vie, mais on m'as toujours appris a vivre au jour le jour, ce que j'ai toujours eut de la difficulté a faire. Je déteste l'improvisation. Je n'avais qu'une seule envie, partir avec lui vers quelque part où mon père ne pourrait pas me retrouver, j'aimais beaucoup Manélyss et sans vraiment le savoir, on peux découvrir pleins de chose sur une personne, seulement par ses mouvements et sa façon d'agir. J'étais simple a décripter, mais lui, il était changeant et c'était assez difficile de comprendre, mais mes pensées n'étaient pas encore rendu a ce point. Je dévorait ses caresses comme si c'était un giga gateau de chocolat. Ses gestes étaient de mieux en mieux, c'était comme s'il m'avait entendu pensé et qu'il savait maintenant que j'étais plus forte que j'en avais l'air. C'est étrange, mais dans mon cas, plus les mouvements sont durs, plus j'aime. Je passa doucement ma main le long de ses côtés jusqu'à son os iliaque(hanche). Mes mains aimaient bien être dans le bas de son dos a le presser contre mon corps. Je suivais ses mouvements qui s'en venais de plus en plsu rapides.

J'eu un reflex spontanné. ma main lui la main se mit dans sont dos et mon autre main lui prit une cuisse. le la souleva. j'était maintenant debout mes deux main sure fesse. je bascula contre un mur ou je prit avec mille precotion de ne pas me heurter et simplement m'acoté. la pénétration était plus profonde. le poid donnait de la pression rendant la sensation plus forte. qui elle était je ne savais. quand elle partirais ? je souhaitait jamais. Voulais-je qu'elle reste. je repond irrévocablement oui. oui et oui. elle était maintenant coller a moi comme le ne le pourrait jamais l'être plus. ses seins frotta sur mon torse a mesure que je lui faisais l'amour. le 7em ciel était maintenant tres bas et nous on continuait de monter.
je savoureux chaque seconde.L'érection n'était pas proche mais ni lointaine. esperant qu'elle vienne le plus tard possible pour que cela dur plus longtmeps.par contre je comptait bien que elle aussi en est une et ce avant moi.

Je souriais étant de plus en plus comblé. Je ne savais même pas que c'étais possible, il me faisait gémir comme jamais personne d'autres ne l'avais fais et comme personne d'autres ne le ferais. J'étais collé contre lui, entre le mur et lui, ses pénétrations me faisait le plus grand des bonheurs. Cette étrange sensation d'être une autre personne était en train d'envahir mon corps, il était maintenant à moi, je ne le laisserais jamais partir. C'était invivable de se séparer de gens que l'on aime, mais de gens qui nous comble, c'est encore pire. Je ne savais pas vraiment de quoi je parlais, mais je savais déjà que s'il partait je ne serais plus jamais la même. J'avais déjà en tête des changements majeurs à faire dans ma vie. J'étais maintenant un peu plus à sa hauteur, le regardait et je gémissais toujours, étant totalement en transe. Je l'aimais, sans le connaitre. Je le retenais contre moi par ses fesses, étrangement, mes mains avaient glissés jusque là, mais ce n'étais pas vraiment l'important. Debout, les mouvements étaient encore mieux pour moi, je ressentais encore plus de plaisir que j'en avais ressentis. Je l'embrassais toujours, dans le cou, sur le torse, sur les lèvres, surtout là. Ma langue se laissait aller et je ne l'en empêchait pas, ça avait l'air d'être un bonheur partagé.

Cette position me plaisait. J'était contre elle et elle entre moi et le mur. elle était prise. je ne la laissera pas s'en aller pas question. Plus la minute s'écouler et plus c'était torride jy allait de façon a accelerer malgré la vitesse a laquelle j'allais deja. Ses gémissement me faisait un effet tres étrange. j'adorais!c'est comme s'ils faisait parti de tout cela. un son a mon oreille qui m'exitait et je ne saurais comment l'expliqué. au fure et a mesure que je lui faisait l'amour . la sueur commençait a se joindre a se plaisir donc, je l'espere, était sans fin. la suer rendait le touché plus agréable. deja qu'il était fantastique maintenant je ne savais pas comment il pourrait l'etre d'avantage. Elle luisair sur sa poitrine et ses cuisse. Je l'emporta un peu vers la gauche ou se trouvait le lit sans toute la laissé posé les pieds a terre. Sensation extrement. effort extreme. mais je ne m,en lasserait jamais.

Je le laissais faire totalement ce qu'il voulait de moi, mon corps lui appartenait, j'étais a lui et je ne ferais que ce qu'il voulait de moi. Je n'attendais rien d'un être aussi parfait, beau, grand et ayant un minimum de muscles. Je restais collé contre lui et la sueur faisait en sorte que nous colions l'un sur l'autre, sensation étrangement agréable. Je le regardais de temps en temps dans les yeux, sans vraiment voir ce qu'il pouvait resentir a ce moment. Des bruits faisaient en sorte que je comprenais totalement ce qui se passais dans son esprit, mais comment en être sur? Je souriais en suivant ses mouvements. Il me guidait vers le lit, je l'embrassais et il me rendait mes baisés, ce que j'appréciais. C'était pour moi comme un signe de reciprocité. Il me collait contre lui et je me collais volontié. Je laissa mon esprit s'envoller au même endroit où j'étais, c'est à dire bien plus haut que les 7ième ciel. Je ferma mes yeux, penchant légèrement ma tête vers l'arrière.

en voyant sa tete basculer, je tout de suite sut qu'elle non-plus ne voulais arreter. mes pieds se mélangere. J'allais tomber sur elle. une chance qu'il y avait le lit. mais il en fut autrement. sans la laché et sans changer quoique se sois je tourna de sorte a se que se sois moi qui prenne L'impact et non elle.les role était maintenant inverser. elle me surplombait. mes mains était au niveau de ses cuisse. rat la ceinture. elles étaient assez grande pour ses rendre sur le coté de ses fesse. la sensation ne changea malgré la nouvelle position. le meme pression était exercer.elle était toujours collé contre moi. ce bref instant sans de mouvement fais retarder l'érinction se qui ne me deplait pas. depuis quand somme nous ici ? aucune idée et je m'en fiche. je veux que sa dure le plus longtmeps pour qu'elle parle le plus tard possible.

Je ferma mes yeux, restant collé contre lui. C'était maintenant moi le leader, je souriais, je savais que je n'étais pas vraiment le leader, mais j'aimais bien me le dire. Je suivais ses mouvements qui était de plus en plus rapide et durs, sans me faire mal. C'était plutôt bien, j'adorais cette sensation... J'étais complètement sur lui, assise ou presque. Je me baissa dans sa dirrection, ayant mon visage très prèt du sien. Je colla ma poitrine contre son torse, c'était probablement la première fois que je me sentais aussi bien nue. Je suivais ses mouvements en me "frottant" contre lui. Mes cheveux étaient en bataille, mais toujours devant ce que j'essayais de cacher. S'il osait les retirer de là, je ne savais pas comment j'allais réagir, mais ça n'allais probablement pas lui plaire, c'est pourquoi, je m'accota contre lui, faisant en sorte de garder mes cheveux devant mon côté à caché. Plus il me faisait l'amour, plus j'en voulais, c'était un cercle vicieux.

Je n'est pas vu le temps passer. je croyais qu'il c'était arreter mais nous somme rester dans cette position bine longtmeps. j'avais beau me retenir le plus longtemps que je le pouvais mais elle ne me ménageait pas et elle n'arretais jamais. elle m'a eut. j'ejacula en courbant legerment le dos avec un gemissement de jouissance. quelle sensation. un gémissement similaire provenant d'elle me signala que elle aussi venait de ressentir la meme. pour reflexe ne fut pas de la tasser. mais de ne plus bouger et de la serrer fort contre moi. je pouvais sentire sa longue cheveux sur mon visage. se moment était graver pour toujours. et maintenant ? je veux qu'elle reste que faire ! je ne la lacha pas de peur qu'elle quitte la chambre en disparisant !

J'étais collé dans ses bras quand il se colla contre le matelas, je me colla contre lui et il me tenait fortement contre lui. Je ferma rapidement mes yeux, je ne voulais pas parler et ce ne devait pas être le bon moment. J'étais accoté contre son torse et je tenais toujours sa main dans la mienne, je jouais dans la paume de sa main avec le bout de mes doigts. Je ne pouvais pas réagir autrement, j'étais bien et je sentais mes sentiments à l'intérieur de moi. Je passais mon autre main dans son dos et sur ses côtes, c'était probablement une habitude, vue mes cicatrices. J'avais les yeux clos et j'écoutais les battements de son coeur, il battait très rapidement, presque autant que le miens. Je l'avais suivis jusqu'au bout et j'en était assez fière. Son coeur battait très vite et il respirait bien, mais moi, je respirais très rapidement. Je ne tenais pas à partir, mais je sentais qu'il allait peut-être me forcer.

Je la tassa sur le coté me levant. j'enleva le condonc que j'avais a mon étonnement rempli au rebord. je fit un noeud dedans et le jeta a la poubelle. je regagne rapidement le lit que je ne voulais pas quitté. coucher a coté d'elle je l'a prit dans mes bras et le serra contre moi. L'alcool c'était estomper il y a de cela plusieurs heure et 'javais toujours les meme sentiment envers elle. j'aurais tant voulu me dire qu'il n,est aucune chance qu'elle parte. Malheureusement elle le devrait malgré tout. Makgré elle. Je ressentais son amour et j'esperais qu'elle ressente le mien. Je le ressentait a chacun de nos étreinte. Ce que je voulais oublier l'était. mais maintenant j'avais peur qu'izabella disparaisent. j'avais peur de ne plus la revoir ni de la sentir ou de la ressentir

Je ne voulais pas partir et rien au monde ne pourrait me convaincre de le faire. Ça faisait déjà un moment que nous étions étendus, l'un des les bras de l'autre. Je repensais a ce moment qui resterait longtemps dans ma mémoire, je ne l'oublirais simplement jamais et ça, je le savais. Je n'allais jamais le quitter, du moins, c'est ce que je voulais. Peut-être pas lui, mais ce n'était pas ce que son corps émanait. J'avais besoin de ses caresses, de savoir qu'il était là pour moi contre tout les gens autour. J'avais besoin de quelqu'un qui saurait me remettre a l'ordre dans tout ce que je pouvais ressentir et ne pas me juger. J'étais quelqu'un qui se vexait facilement, mais je ne laissais jamais parraitre, c'était l'une de mes plus grands défauts. L'apparance comptait trop, j'avais peur de ce que j'étais et de ce que je représentais. Je regardais Manélyss, ne pouvant plus me séparer de lui. Il était maintenant en moi et il ne pourrait en sortir sans ma permission. Je lui caressais toujours les côtes avec mes doigts.

Je lui prit la main et lui sourit amoureusement. si seulement elle comprenait le message que mes yeux lui envoyait. rose. Je fuit cette couleur habituellement. je fuis l'amour. mais elle jamais. J'étais cien. je lui appartenait et je voudrais qu'elle ne me laisse jamais partir. Ses douces carresses était agreable. je ne pourrais m,en passer. je ferma les yeux et l'embrassa.
-Je t'aime Izabella.
Je l'avais dit était-ce sortis tout seul? peut importe je ne regrette pas je l'aime et je veux qu'elle le sache.
Elle m'était autant étrangere que familiere. Je caressa sa chevelure sans deplace les cheveux qui cachait son visage. elle avait tellement prit soin de toujours les garder la. je n,allais pas gacher se moment en tasser sa. non la caresser de la tete jusqu'au hanche était bine plus aproprie

Je le regardais toujours doucement, jusqu'au moment ou ses mots franchirent ses lèvres. Bien sûr, ils étaient bien placés, mais j'avais toujours eut une difficultée inée a aimer. Ce mot n'arrivait pas à franchir mes lèvres même lorsque j'étais sincère. Je le regardais et je lui fis un léger sourire. Je ne savais pas trop quoi dire, c'était vrai que j'éprouvais la même chose, mais dire << moi aussi >> ne faisait-il pas trop cliché? Je souriais légèrement toujours en le regardant droit dans les yeux.

- J'ai aussi de forts sentiments pour toi, Manélyss.

Je le regardais sincèrement, ce que je venais de dire egalisait un Je t'aime que j'aurais trouvé banal en guise de réponse. Je me contentais de le regarder droit dans les yeux, ne disant rien de plus. Je ne savais pas s'il avait l'heure dans cette pièce, mais ça m'importait peur.

Sa réponse fut des plus originale. un large sourit fendit mon visage. je n'avait rien a rajouter. Il était très tard ou très tot.... et la fatigue vien vite apres avoir fait l'amour aussi passionement. le lit de ma mere était loin d'etre inconfortable. bien mieux que mon siimple lit.Je me tourna sur le dos attirant de la meme sorte celle qui était a présence la personne a qui je tenait le plus, sur mon torse lui faisant office d'oreiller. je prit sa main gauche avec ma droit et forma des cerla avec mon pouce dans sa paume alors que ma main gauche était dans son dos la retenant contre moi. J'était bien. Je venais de reve. Mais se reve était réel et aussi extraodinaire que ceux que nous faisons lorsuqe nous dormons

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