Maison d'Izabella. (Pv Mané)

Je regardais simplement autour de moi, ne sachant pas vraiment quoi dire ni quoi faire. Ma maison était probablement la plus délabré de tout le quartier et mon père s'en fichais bien, donc on ne faisait rien pour elle. Je marchais vers chez moi, ne disant rien, je me contentais de frotter discrètement la main de Manélyss, me mordant durement la lèvre. Je n'aurais certainement pas envie qu'il soit confronté a mon père et certainement pas qu'il doivent me protèger contre lui. J'avais dans la tête de dénoncer mon père pour ce qu'il me faisait, mais je ne savais pas de quelle manière, en plus, j'étais mineur, je serais forcé d'aller en famille d'acceuille et je ne voulais pas devoir quitter Manélyss. Je levais les yeux quelques fois vers lui, sans lui dire à quoi je pensais. J'étais face à ma maison et je la fixais, je n'avais plus envie d'entrer...

Je voyais dans son regards de la crainte et de a tristesse. Je ne savais pas qu'est-ce que c'était. j'aurais bine pu le savoir tout simplement en lisant dans ses pensées mais je n'aimait de se dont mais au moin Il m'immunisait contre ceux qui voudrais faire usage d'un dont similaire. Personne ne pouvais entre dans ma tete. A chaque fois quelle me regardais je lui envoyais un sourir amoureux pour la rassurer que j'allais bien malgre tout. Elle ne parlais guere mais sa me convenait. je savais qu'elle apreciait ma presence malgrer tout. elle jouait avec ma main.j'adorais sa comme si elle me disais constamenet ''je pense a toi''. elle nous stoppa devant une maison délabrer qui me ramena hors de mes pensé. c'est ici qu'elle habitait ? je crois commencer a comprendre ses craintes face a sa maison et peut-etre meme a sa famille. je me mit devant elle et la regarda dans le yeux d'un air sérieux mais comprehensif et attentionner. je lui prit les deux main et dit
-Tu sais, si tu as quelque chose a me dire ou tout simplement que tu as besoin de parler, je suis la quoi que se sois n'importe quand. ne te sens pas gener une seconde de me dire se que tu as en tete d'accord?

Je me mordais durement la lèvre, j'étais face a lui et j'étais confronté a ses yeux qui me paraissait si perssant, j'avais l'impression qu'en un seul claquement de doigt il pouvait deviner tout ce que je lui cachait, ce que je n'espèrais pas du tout. J'avais de la difficulté a le regarder droit dans les yeux, je ne pourrais simplement pas lui mentir en le regardant de cette façon, c'était impossible pour moi. Je me mordais durement la lèvre en continuant de le regarder, je n'avais simplement pas envie qu'il fasse une scène a mon père et qu'ils se battent, c'était simple, non? Je ne savais pas quoi dire et dans quel ordre le dire, j'avais tellement de chose en tête que je ne pouvais pas toute les extériosisés. Je cherchais mes mots, car je savais que si j'essayais de tout dire en même temps mes phrases ne seraient pas claires du tout. Je le regardais toujours droit dans les yeux, me mordant la lèvre inférieur.

- Je ne veux pas que tu me fasse une scène... S'il te plait, je veux simplement que tu ignore mon père le temps qu'on va être dans la maison...

Je le regardans droit dans les yeux, ayant à la fois peur, mais j'étais surtout angoissée.

- Promet le moi...

J'étais un desemparer par cela. Ce qu'elle me cachait risquait de me mettre hors de moi et elle le savais. Je lui souris et lui prit le petit doigt avec le mien.
-je te le promets.
cela m'intriguait. peur ? non la peur j'en avait que deux. La perdre elle. et l'autre et bien c'était moi. je me faisait peur et jamais je ne voudrais me voir sous l'effet d'amalyss.
j'attendis qu'elle me reponde

Je le regardais en pensant, mes pensées était beaucoup plus simple a voir qu'à expliquer ce qui était tout à fait normal, non? Je pris une grande inspiration et j'expira doucement afin de me donner une graine de courage de plus. J'acquiesça en le regardant droit dans les yeux, sans m'en rendre compte, je venais de glisser ma main libre sur le côté de mon visage que je cachais toujours avec mes cheveux. Je ne savais pas quoi dire, je ne lui expliquerais pas tout du début, ça serais beaucoup trop pour l'instant, je me contenterais du necessaire. Je leva les yeux vers lui, sans savoir pourquoi, ils s'étaient remplis de larmes de désespoir.

- Mon père est un gros salop. Je n'ai jamais été voulu, ma mère est une pute, selon ce que je sais d'elle. Elle m'a ramené ici, car elle ne voulait rien savoir de moi. Mon père a passé sa vie a se tapper des prostitués et...

Ma voix venait de bloquer, je ne savais plus comment le dire, les sentiments sont une partie de moi que j'aimerais pouvoir contrôler, mais je n'y arrive pas. J'avais une boule dans l'estomac et je serrais légèrement sa main dans la mienne en frottant légèrement le côté de mon visage.

- depuis que je suis jeune, il a passé son temps a m'abuser sexuellement, à me battre et à me faire faire pleins d'attrocités que j'aime mieux garder pour moi... Mon père est sado-maso et il adore me faire souffrir. Les seuls moments ou je suis en paix c'est quand je pars d'ici ou quand quelqu'un vient avec moi.

Je soupira légèrement, plus je parlais, moins j'avais peur de sa réaction, il continuait de m'écouter et il n'avait pas l'air de me trouver répugnante pour autant.

- Je tenais à ce que tu le saches... C'est pour cette raison que j'ai beaucoup de cicatrice sur mon corps, mais la plupart ne me gène pas, car je peux les camouffler d'un bout de tissu, sauf celle-ci.

Je n'en revenais pas, j'allais vraiment lui montrer pour quelle raison je me cachais toujours? Hé oui, je ne me comprends plus, on dirait que quand sa sort, ça ne veux plus arrêter. Je découvris mon visage de mes cheveux et il a pu voir la cicatrice que j'avais sur le bord de mon oeil. Elle était encore bleue, frais faite, mais bientot la galle aurait fini de se former. J'avais honte de celle-ci, car elle avait une histoire bien particulière, mais ce n'était pas vraiment important. Je le regardais toujours, attendant une réaction de sa part. Lorsque je lui montra ma dernière cicatrice, qui était la pire, je baissa la tête, honteuse.

J'approcha d'elle prit sa visage dans mais mains essuyant ses larmes et parcourrant sa cicatrice. J'avais promis. OUUUuuuuu.! j'avais mal. j'acota ma tete sur la cienne fermant les yeux pour ne pas lui devoila se qui se passait a l'interieur de moi. j'avais promis. je pouvais senti mes veins se redirent et mon sang refroidir. j'avais promis. Mes dents s'apointissait et un craque avait surment été perceptible. La regarder de degout non. de pitie non mais un homme comme sa mériterais le pire chatiment du monde''amalyss'' j'avais promis. je la serra fort dans mes bras. Mon coeur battais tellement fort que si j'était a coté sur une vitre, celle-ci branlerais avec moi. je respira fort essayant de tout contenir.
-Je te l'est promis izabella je tiendrais parole. La rage bouillonait et des larme de douleur se mirent a couler des mes yeux. pas d'eau. de sang. retenir amalyss était extrement difficile surtout dans une aussi grand colère. je me collait contre elle pour essayer de l'appaiser.
-je t'aime mon amour et je tes promis de l'ignorer mais comment pourrais-je continuer a le laisser te faire du mal comme sa ?
comme l,empecher sans lui faire de mal ?

Je le regardais droit dans les yeux, même au moment où il s'était rapproché de moi. Je lui tenais toujours la main, mais j'étais aussi rageuse en dedans de moi, mais mon père allait payer, mais pas de cette façon, il ne fallait quand même pas oublié qu'il était mon père et que sans lui, je n'aurais jamais rencontré Manélyss, car je n'aurais jamais eut envie de noyer ma douleur. Je sentais ses doigts sur ma cicatrice et ça me faisais frémir. Je fermais mes yeux à chaque fois, je le sentais très bien et il était en train de se fâché. Je venais de glisser mes mains dans son cou, mais les miennes était glacés, ce qui l'aiderait peut-être a redevenir plus calme.

- Manélyss... S'il te plait. On va lui faire payer, mais... Pas par la douleur, j'aimerais qu'il aille mal psycologiquement, pas physiquement, du moins, pas par toi.

Je le regardais droit dans les yeux, mais j'avais de la difficulté a soutenir son regard.

J'ouvris les yeux legerment laissant deux emeraude verts la regardant douleureusement. je les referma et resta coller sur elle. SI elle n,aurais pas mentionner: pas par toi. je lui aurais montrer amalyss dans sa tete de demeurer et je l'aurais tromatiser a vie. les veins vertes noiratre apparaissait legerment sur mes mains et mon coup. Il prenait le dessu. et les sang continuait a couler de mes yeux. je la regarde du regard d'un autre .
-embrasse-moi tu veux bien.dit-je d'une vois tremblante. C'était la seul personne qui reussissait a le repousser. et le ferais partir j,en était certain.

Je m'approcha simplement de lui, mon regard était amplis du plus d'amour que j'aurais pu lui en donner et il ne le refuserait certainement pas. Je déposa doucement mes lèvres contre les siennes en l'embrassant le plus amoureusement possible, dans son regard, sa détresse avait dépassé ses yeux, je savais très bien que ce qu'il tentait de cacher n'était pas très loin et ne demandait qu'une chose: sortir et aller assassiner mon père, mais je ne voulais pas et je ne le laisserais certainement pas faire, même si ce n'était pas l'envie qui manquait. Je ferma mes yeux en glissant le bout de mes doigts dans ses larmes de sang afin de les assècher. Je n'avais pas envie que le démon en lui fasse son apparission. J'avais simplement envie d'être là, dans ses bras et rien ne pourrait m'enpêcher de le faire, c'était certain. Je l'embrassais en restant totalement collé contre lui. Mon père allait le payer, c'était certain. J'avais dans la tête de l'envoyer en prison et tout le monde sait que dans les prisons, les hommes qui violent se font violer a leur tour et je sais très bien que mon père n'est pas assez bâtis pour se défendre contre des hommes baraqués, parce qu'ils ont fait beaucoup de prison. Il souffrirait bien plus de cette façon, du moins c'était ce que je pensais vraiment.

A qui veux le savoir, ses baisé sont magic. Ils repousse amalyss au plus profond de moi. Mes larmes de sang disparurent sous celles d'eau. Mes yeux avait surment prit la couleur rose et bleu foncé. deux mealstrom de rose et de bleu. Ma peine ne partirais pas aussi vite. mais la colère, la rage et la souffrance fure remplacer par l'amour. je cru briller sous le charme de ses baisé. Ils m'appaisait. Me donneraient-ils la force de rentrer la et de passer a coté de l'homme qui faisait tant souffrir celle que j'aime ?. j'esperais bien que oui. Je ne la lachais pas et continua de l'embrasser. Je sentait amalyss reculer tranquillement. mes vein redevenerent normal. Je cru etre soulage du poid du monde. Mais ce n'était que la moitier bine entendu l'autre moitier était dans une maison a quelque metre de moi

Je sentais que son poul semblait se calmer, il semblait redevenir lui-même et en pleine possession de son corps. Je continua de l'embrasser encore durant quelques instants, mais je dut reculer, ce n'est pas que je n'en avais plus envie, c'est simplement que si mon père nous voyait, il serait vraiment furieux et il me frapperait même si Manélyss était présent, ce que je redoutais au plus haut point, je ne voulais pas que l'autre sorte, même si mon père le méritais amplement. Dès que je décolla mon visage du sien, je continua de le regarder droit dans les yeux en prenant doucement sa main.

- Si tu ne te sens pas capable d'entrer, tu peux rester à l'extérieur...

Croyait-elle vraiment que je la laisserais entre seul. Que non !. je rentrerais et si Il ose lever la main sur elle. Je ne me batterai pas mais je retiendrais tout. un simple ivrogne humain ne me blesserais en aucun cas.
-tu pense vraiment que je vais te laisser entre tout seul. je reste avec autant qu'il me sera possible.
je la regarda en souriant lui assurant toute les parole qui sortait de ma bouche.
Je détestais son pere avant meme de l'avoir vu. c'est un bon debut non ? Les homme comme lui meriterais aucune jugement. juste l'hérance éternelle

Il avait raison et je le savais, mais... comment être sure qu'il ne sauterait pas à la gorge de mon père? Je lui faisais complètement confiance, mais dans cette situation, ce n'étais pas vraiment de la confiance qu'il fallait. Je le regardais et je n'osais pas contredire ses mots. Je ne savais simplement pas quoi rajouter, mais je savais qu'il ne m'aurait jamais laissé là seule... C'étais ce que je pensais et mes pensées ont été fondés.

- D'accords.

Je lui pris la main et me dirigea vers la maison, je tremblais légèrement et j'avais les mains vraiment moites. J'ouvris la porte, mais je n'entendis aucun bruit, ce qui était assez bon signe. Peut-être qu'il s'était endormi...

Je la suivit et tendit l'oreille. aucun bruit mais l'odeur de l'alcool fort impregnait les murs. Le vomis aussi a ma connaissance. écoeurant. elle était vraiment courageuse. elle avait deja tout mon respect et mon amour. mais tout de meme... je regarda et inspecta les lieu avec un regard plus ou moin heureux. Je ne sais pas comment je pourrai la laissé vivre ici dans ce calvaire qui était la maison de son pere ainsi que la cienne. je lui tenait la main fermement de sorte que si son pere arrivait je pourrai la proteger en l'attirant derriere moi ou bine empecher celui-ci de la prendre sous mes yeux. Je lui conseillait fort bien d,etre polie et de ne pas la toucher sinon il risquerais de manger mon crochet en plein sur le nez

Je n'entendais pas de mouvement directs, mais je savais très bien qu'il était dans la maison, lorsque je regarda dans le salon, je le vu étendu là, dormant en ayant une bouteille de whisky à la main, pff... Étonnant!? Non, pas vraiment. Je tourna mes yeux vers Manélyss et dans ceux-ci, j'en était certaine, on pouvait voir simplement du soulagement. Je regardais ma maison et depuis que je connaissais Manélyss, je ne pouvais plus la voir de la même façon, elle était vraiment répugnante. Je grimpa rapidement les marches en faisant bien attention de ne faire aucuns bruits ni mouvement secs, étangement, il avait l'air de me sentir quand j'entrais dans la maison. On entra dans ma chambre et je ferma la porte derrière nous. Elle n'était pas décoré du tout et je n'avais pas beaucoup de vêtement, donc je n'avais pas de bureau, simplement un matelas dans un coin de la chambre.

J'était plutot soulager que son pere sois dans le salon a moitier mort sou l'effet de l'alcool. si seulement il aurait pu en boire plus... qu'est-ce que je dit la ? moi ! voyons manélyss ou est passer ton bon sens de jugement. peut importe. j'était avec elle plus ou moin a l'abri du soulon. Je la prit dans mes bras et la deposa sur son matelas la plus discretement possible. sa chambre était la piece la plus belle de la maison malgré le peu de chose qu'il y avait. j'adorais cette piece . l'alcool cachait peut-etre le magnifique parfum qui sens degageais mais dans la piece le parfum d'izabella m'impregnait et m'emportait sur un nuage loin de tout excepter d'elle qui au contraire m'en rapprochait

Je ferma légèrement mes yeux et me mordit la lèvre quand Manélyss m'étendu sur mon matelas. Je savais pourquoi, mais il ne pouvait pas deviner, c'était sur. Je leva la tête vers lui et mes yeux trahissaient simplement ce que je pensais, je ne pourrais jamais être placé dans cette position, dans ce lit, c'était totalement hors de moi et de mon contrôle. Je le regardais, mais mes yeux se remplissaient de larmes, sans que je ne les contrôles. Je le regardais, mais je ne souriais plus depuis quelques instants.

- Je... Je m'excuse Manélyss...

Je le regardais droit dans les yeux, mais tous ce que j'avais envie c'était de prendre les quelques vêtements que j'avais et de m'enfuir loin d'ici en laissant à mon père juste une lettre d'adieu...

ses larme me toucherent profondement. comprenant tres bien que se lit était l'endroit su supplice. finalement je n'amais pas trop cette piece. si je l'avais deposer sur son matelas, c'était bien pour essayer de detendre l'atmosphere et non pour les caresse si agreable que nous avions deja échanger. Non pas ic je ne pourais pas. cette endroit était une sorte d,abbatoir a reve. L'allé de la peur et de la honte. Je la serra fort dans mes bras. la recomfortant du mieux que je puis. pourquoi restait-elle ici dans se chaos abominable. Je degagera une lumiere chaleureuse que pour elle. je pouvais controler se phenomene. mais celui apparaissait aussi lors de moment extremement heureux comme hier soir.

Je me colla légèrement dans ses bras, j'avais envie de me mettre a pleurer, mais je ne le ferais pas, certainement pas ici dans cette maison. Je m'étais toujours refuser cette liberté, car pour mon père, ça aurait été simplement une victoire et je refusais de lui ceder ma vie. Je resta dans ses bras quelques instants, même qu'une ou deux larmes coullèrent le long de ma joue, je les avais essuyé rapidement, ne voulant pas pleurer face a mes problèmes. Je tourna la tête et camouffla mon visage dans le cou de Manélyss. Je ferma mes yeux, restant dans cette position quelques moments.

- Manélyss... Tu voudrais que je vienne chez toi... Le temps que je me trouve un autre endroit...?

Je me mordais durement la lèvre, j'espèrais vraiment qu'il veuille, mais c'étais son choix.

Je l'a regarda avec soulagement. elle M'enchanterais a faire cela
-je veux volontier et reste aussi longtemps que tu le souhaite.
si elle M'aurait dit qu'elle allait ailleur, j'aurais ressenti un soulagement tolale. mais la elle voulais venir chez moi. c'était encore mieux. je lui ouvrirais ma porte n'importe quand et la son pere y aurais aucun pouvoir. se serait de l'arcelement.
-je t'aide a faire t'es bagages.
elle n'avais aps grand chose mais tout de meme Il serait bien utiles d,emmener au moin les vetement quelle avait
je la sera plus fort encore dans mes bras. j'approuvais sa decision

Je le regardais, il avait l'air d'être sincère et il avait l'air heureux de m'acceuillir ce qui me rendit assez heureuse en dedans. Je me leva et pris les quelques vêtements que j'avais en les mettant dans un petit sac à dos que j'avais toujours eut dans ma chambre. J'ouvris mon garde-robe et sortit mon étuit de guitare, qui comportait ma guitar, évidement. Je tourna la tête vers lui en me mordant la lèvre. Je ne voulais pas m'expliquer et j'espèrais qu'il ne me pose pas trop de question sur ma guitare, ça m'importait peu. Il m'aida et on mis tout ce que j'avais dans mon sac. Je tourna la tête vers lui, me mordant la lèvre.

- C'est tout ce que j'ai...

Je sortis de la chambre, en ayant ma guitare sur mon épaule et je tenais la main de Manélyss.

Je lui pris la main et caressa la paume de celle-ci. je lui souris.
-alors on y vas.
le plus dure était de redescendre sans que son pere S'en apercçoive. rendu devant els escalier.
-Izabella as-tu peux de voler ?dit-je en chuchotant
le plus facilement serait de la prendre et de descendre sans toucher aucune marche évitant ainsi un grincement infernal.
la lumiere que je controlais me permettais de faire bien des chose. C'était mon arts . unique a moi meme.

Je le regardais en fronçant les sourcils, je n'avais peur de rien. Pfff... Non, ce n'était pas vrai, mais c'était l'une des choses que j'essayais de me faire accroire. Je secoua la tête négativement en lui affirmant que je n'avais pas peur de ça;

- Non, je n'ai pas peur.

Je le regardais en fronçant les sourcils, je voyais mal comment il voulait nous faire voler dans ma maison qui était aussi petite qu'une boite a chaussure, mais avec lui, je pouvais m'attendre à tout et ça, j'en étais convaincu.

je lui souris et la pris dans mes bras. je descendis les escalier normalement projetant une claire lumiere sous mes pied me tenant a bonne distance de celles-ci. Lorsque j,avais employer le mots voler, j'avais mal exprimer mes pensé. cela était plutot de la levitation. voler et tout autre chose mais je ne peu plus. mainteant que je renier.je la regarda en souriant esperant qu'elle trouve cela plus ''cool'' rendu en vas j'ouvrit la porte sans bruit et la referma dans les meme conditions et deposa juste apres cela izabella sur ses pieds. nous étions hors de la maison d'horreur. je l'embrassa amoureusement heureux de sa decision. quitter cette endroit le serais favorable. son pere plirait l'échine s'il venait chez moi. il serait sur mon terrain. j'aurais tout les droit de contrer le crétin qu'il était

Je tourna le regard vers lui en me mordant la lèvre, je devais au moins lui dire que je ne reviendrais pas, même s'il risquerait de s'en foutre carrément. Je me mordais la lèvre en regardant Manélyss droit dans les yeux.

- Attends... Je reviens.

Je me dirigea vers la maison et alla rapidement dans la cuisine, j'étais très nerveuse et vraiment axieuse, j'avais laisser la porte ouverte, mais je ne voulais pas que mon père se réveille. Je sortis une feuille de papier et commença à rédiger un mémo a mon père pour simplement lui dire qu'il ne me revèrait jamais.

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